oh, bébé de juillet, le ciel s'est assombri.
Vos océans de promesses se sont éloignés avec la marée,
se désintégrant derrière l'horizon
comme le soleil qui se couche quotidiennement.
Ils restent assez longtemps pour se souvenir, mais jamais pour ressentir.
Ils sont toujours vides, ce qui me tue vraiment.
Tu m'aimes, et pourtant tu tentes rarement la RCR,
même après m'être noyé
et je dois vider mes poumons.
Tu me laisses allongé sur le bord de la plage, regardant l'eau,
vous regardant, vous et vos promesses limitées, disparaître dans la nuit.
Je crie entre m'étouffer avec le
larmes salées de la terre.
Je ne peux plus faire la différence entre le mien et l'eau.
Le monde est sombre.
Et tu es parti jusqu'à ce que le soleil revienne le matin,
puis nous recommençons.
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